Las Vegas

Quelques folies….

La folie des grandeurs avec des magasins démesurés et un nombre de magasins de luxe incroyable…

La folie des prix puisque par exemple on peut déguster une crêpe beurre/citron pour la modique somme de 16,60€, un steack/frites à 40 euros…

La folie architecturale avec des hôtels/casinos gigantesques…

La folie du jeu…

La folie tout simplement ! He oui, par exemple ici les oeufs sont prêts à être mangés, on peut s’amuser avec des lances-flammes ou des mitraillettes, ou bien pour le fun conduire une pelleteuse pour faire des trous dans la terre ou exploser une voiture. C’est Vegas…

La folie culturelle avec des expositions, spectacles, concerts…

Pour conclure, 2 jours bien remplis et une journée de repos pour récupérer des kilomètres marchés à travers cette ville ahurissante. Et puis un passage dans les magasins d’usine pour mon plaisir. Un grand week-end intense, dépaysant et parfois déroutant !

San Francisco : Les mots de la fin

Si nous devions résumer notre séjour à San Francisco en 5 mots…

Léa

-Cable-car

-Golden gate

-Alcatraz

-Rues en damier (perpendiculaires et parallèles)

-Lombard Street

Axel

-Alcatraz

-Golden Gate

-Cable-car

-Montées et descentes

-Stanford

Amélie

-Golden Gate

-Baleines

-Pentue

-Escaliers

-Stanford

Mickaël

-Cable-car

-Golden Gate

-Alcatraz

-Wharf

-Silicon Valley

Jamestone, Sequoia National Park et Calico

JAMESTONE

À notre arrivée dans cette petite ville, nous avons l’impression de retourner des années en arrière et d’être dans un film. En plus, il y a un rassemblement de vieilles voitures. C’est sympa.

Haut lieu de la ruée vers l’or, c’est à Jamestone que nous posons nos valises pour une journée. Au programme, bien sûr, nous allons rechercher de l’or. Nous apprenons tout le processus effectué à partir de l’année 1848, par les Américains et des personnes venues du monde entier, en quête de cette fameuse pierre précieuse. Une superbe aventure avec, à la clé, l’extraction de 8 particules d’or.

SEQUOIA NATIONAL PARK

Nous roulons dans la giant forest, puis nous arrêtons pour une petite marche d’une heure au milieu des séquoias géants. Nous nous arrêtons devant le General Sherman Tree, qui est l’être vivant le plus volumineux au monde. Il pèse 1256 tonnes, mesure 83,8 mètres, à un volume de 1487 m³, son diamètre à la base est de 11 mètres, sa circonférence de 31 mètres, et il est âgé de 2200 ans. Une simple branche correspond en fait à un arbre chez nous. Ahurissant !

CALICO

Sur la route entre le Sequoia National Park et la ville de Calico, nous roulons à travers des champs d’orangers à perte de vue, il y a quelques vignes aussi. Puis se succèdent des champs pétrolifères, des champs d’éoliennes et de panneaux solaires.

Nous visitons la ville fantôme de Calico, ville minière d’argent et de borax, qui a été créée en 1881. Elle a compté pendant la ruée vers l’or plus de 3500 habitants, et a été abandonnée en 1907 suite à la baisse du cours de l’argent. Elle a été rénovée par la suite et est devenue une des plus belles villes fantôme par ici.

Un chouette début dans l’ouest américain !

Yosemite

Début des parcs de l’ouest américain avec ce célèbre parc à 4h de San Francisco. Ici, les falaises de granite sont immenses, les vallées verdoyantes, et les forêts de pins en tapissent le fond. 

Il est encore tôt dans la saison, et plusieurs routes sont encore fermées à cause de la neige. C’est d’ailleurs l’occasion pour les enfants de jouer dans cette neige qui leur à manquer en février. Nous dormons dans des tentes avec des casiers à l’extérieur que les ours ne peuvent pas ouvrir et où l’on doit entreposer toute nourriture et tous produits odorants. Nous avons eu un temps superbe ces deux jours.

Half dome

Cet immense bloc de granite est un des symboles de Yosemite. La marque North Face en a d’ailleurs fait son logo. La vue depuis le point de vue Glacier Point est magnifique.

Chutes d’eau

La fonte des neiges étant en cours dans le parc, le débit des chutes d’eau de Yosemite est vraiment impressionnant. Les embruns au bas des chutes nous ont complètement trempés. Nous avions l’impression qu’il pleuvait !

Expédition pour observer les ours 

À Yosemite, les ours sont présents et il est possible de les observer, notamment à la tombée de la nuit ou au lever du soleil. Nous partons un soir à pied depuis notre campement, avec les frontales, pour rejoindre une zone humide où il est possible d’en observer certains soir. Nous sommes partis un peu tard et une fois arrivés sur place, il faisait carrément nuit noire et nous étions seuls… Après avoir quelque peu cherché notre chemin, s’être enfoncés dans la forêt à l’affut des moindres bruits, puis avoir entendu des hurlements, nous décidons de faire demi-tour pas très rassurés tout de même (voire bien inquiètes Léa et moi) ! Une marche épique dont on se souviendra… Finalement, Micka y retournera le lendemain matin sans plus de succès. Peut-être aurons-nous la chance de voir des ours plus tard dans le voyage… 

El Capitan

Cette falaise de granit mythique est vraiment impressionnante vue d’en bas. Ce sont plus de 1000 mètres de dénivelé qui attendent les grimpeurs qui partent à son assaut. Environ 50 grimpeurs par jour tentent d’atteindre le sommet à cette période. Pour la plupart il faudra compter deux à trois nuits passées sur la paroi pour l’atteindre, mais certains font l’ascension en une grosse journée de 16 heures environ et redescendent à la nuit tombée. La voie la plus célèbre s’appelle The Nose, elle est côtée 8b+, et elle est située sur la partie proéminente de la falaise. Les rangers du parc installent des longues-vues afin que l’on puisse observer les grimpeurs depuis la vallée.

Insolite et réflexions San Francisco

-Il y a ici aussi les taxis sans chauffeur, mais il y a quand même des bugs : dans un virage au niveau d’un croisement, la voiture s’est arrêtée et n’a plus redémarré, créant un mini-bouchon, un arrêt court de notre streetcar, et attirant l’attention, l’incrédulité et l’amusement des passants et conducteurs !

-Je le redis mais c’est parce que ça me choque : les prix sont archi élevés ici, c’est dingue : 6,50€ le paquet de gâteaux, 6€ le pain de mie, je ne parle même pas des produits importés du style fromage dont le coût ferait halluciner les consommateurs français. Franchement, on se demande comment les gens ici font….

-Nous sommes dans la Silicon Valley, mais pourtant le wifi ici est très lent. Je mets un temps fou à télécharger les photos sur le blog. On est obligé de se connecter à notre téléphone car le réseau est insuffisant sinon…. C’est étonnant.

-La ville nous semble déserte, il y a très peu de monde dans les rues que ce soit en semaine ou le we, et nous avons l’impression que la plupart des gens sont des touristes comme nous. C’est vraiment bizarre, on se demande où sont les résidents.

-Nous voyons pas mal de sans-abris, et des personnes droguées complètement avachies sur elles-mêmes. Ces personnes ne sont pas du tout agressives mais c’est malheureux à voir.

-Une voiture à côté de notre logement qui a été customisée en collant des boutons…

A San Francisco

On a pris une glace au foodtruck devant le musée de Walt Disney Family. On les a achetées à SF, mais en fait c’est typique de Hawaï ! C’est de la glace pilée avec du sirop. On choisit le sirop qu’on veut ajouter et il y a plein de choix. On peut le voir sur la dernière image. Il y en a aussi plein d’autres que la vendeuse peut rajouter aussi. Tout le monde peut faire ça chez lui : prenez juste des glaçons, cassez les, prenez de la grenadine et versez-en un peu dessus !

L’avis de Léa : au début c’était bon, mais après j’ai senti le parfum très bizarre que j’avais choisi : moonflower. Ca avait à moitié le goût d’hibiscus et un autre que je ne reconnaissais pas. En fait c’est un goût chimique et je n’ai pas pu en manger beaucoup car ça a fini par m’écœurer. À part ça, j’étais contente de goûter.

Note : 2,5/10

L’avis d’Axel : j’ai choisi le sirop de vanille, c’était assez bon, mais ça ne vaut pas une glace chez Rapanui.

Note : 7,5/10

Cette glace très connue au Fisherman Wharf car elles sont composées d’un cookie, d’une boule de glace et d’un autre cookie. Parfois, on peut même rajouter une autre boule en dessous puis un autre cookie. Franchement, ce n’est pas spécialement bon. Du coup, il n’y a que Papa qui en a mangé une. Nous, on a pris des glaces en cornets normales !

L’avis de Léa : la glace vanille que j’ai mangée n’avait rien de particulier, c’était une glace normale à la vanille. Elle n’en restait pas moins excellente ! Par contre, j’ai moins aimé les topping.

Note : 7/10

L’avis d’Axel : j’ai pris une glace cookie crips et elle était bonne. Mais ce qui faisait qu’elle était moins bonne, c’est que j’ai pris des topping dessus que je n’aimais pas vraiment. Dès que je les ai enlevés, la glace est devenue succulente.

Note : 8/10

San Francisco

C’est parti pour une semaine à San Francisco !

Nous commençons par un trajet en cable-car pour rejoindre la fameuse Lombard Street. Les rues sont tellement pentues que les voiture se garent en orientant les roues vers le trottoir au cas où ! Un footing doit se révéler éprouvant ici ! Les vélov sont d’ailleurs électriques ici heureusement.

Nous descendons à pied vers le Fisherman’s wharf en faisant un arrêt dans une petite sandwicherie où Micka apprend en discutant avec le chef qu’il était étoilé à San Francisco avant de changer de vie et de rythme : les sandwiches sont délicieux ! Au Pier, plein de choses à faire : le musée de la mécanique est rempli d’anciens jeux de fête foraine auxquels on peut jouer, c’est trop marrant ! On voit également les lions de mer lézardant en masse sur le port. Puis du bout de la jetée, on a un joli point de vue sur le Golden Gate et Alcatraz.

Nous marchons ensuite vers la Coit tower où nous avons un beau point de vue en hauteur sur la ville. Nous redescendons en passant par les Filbert steps, ces escaliers qui ressemblent tout à fait à ceux des pentes de la Croix-Rousse, pour clôturer cette journée de visites bien remplie.

Deuxième jour ici, nous débutons la journée par aller au musée des sciences qui ressemble plus à un musée d’histoire naturelle avec son aquarium, ses expositions sur les animaux, etc. Mais il y a aussi un planétarium et un simulateur de tremblement de terre (pour lequel, entre autres, nous venions) mais qui était malheureusement en travaux.

La vue depuis Alamo Square sur les Painted Ladies est jolie. Le parc est rempli de familles et groupes de jeunes installés là pour le pique-nique, c’est très sympa. On a lu qu’une des maisons victoriennes achetées 65 000$ en 1975 s’est revendue 3,1 millions de dollars en 1994…

Nous finissons par un petit tour dans Chinatown. C’est ici le plus grand quartier chinois au monde, avec plus de 100 000 habitants aujourd’hui, les premiers chinois étant venus s’installés en 1850 pour la ruée vers l’or.

J3 : Nous passons par le quartier chic Presidio, où les maisons sont énormes et ont vue sur la baie, pour descendre en passant par les Lyon Street Steps bien raides en direction du musée de la famille de Walt Disney. La visite était hyper intéressante. La vie de la famille Disney est passionnante, et les dessins et explications sur tout le processus de création des dessins animés avec bruitage, du journal de Mickey, jusqu’à la création des parcs d’attractions et la production des grands films d’animation étaient franchement instructifs.

Nous avons poursuivi par l’Explonatorium, musée qui ressemble à la géode. Un bon moment plein d’expériences scientifiques pour nous 4.

Le quatrième jour est plus sombre, les enfants et Micka vont visiter Alcatraz (cf. blog des enfants pour leur récit de la visite).

En fin de journée, passage obligé par le Golden Gate, le pont le plus photographié au monde. On l’avait déjà vu depuis le port sous le soleil, mais cette fois-ci le temps typique nuageux/brumeux nous le montre la tête dans les nuages. Sa construction fut un véritable défi à l’époque, il a fallu 5 ans pour le construire.

Ce cinquième jour débute par une surprise pour les enfants, nous allons voir les baleines ! Direction le sud, vers Monterey. Là-bas, les fonds marins ressemblent à un grand canyon sous-marin. Ses eaux fraiches et ses pentes abruptes concentrent énormément de poissons, ce qui attire de nombreuses baleines et autres mammifères marins qui viennent du Mexique, de Hawaï et du nord des USA. Excursion dingue pour nous : nous avons vu une famille d’orques apprenant la chasse au bébé orque, puis nous avons vu une dizaine de baleines à bosse. Quel moment magique. Nous avons appris plein de choses. Par exemple, ce sont les femelles orques qui chassent, il y a 3 « types » d’orques : ceux qui mangent des mammifères, ceux qui mangent des poissons, et ceux qui mangent des raies et des requins, ou bien encore que les baleines se nourrissent ici de mai à novembre puis partent dans les eaux chaudes pour accoucher vers janvier et allaitent leur bébé jusqu’en avril avant de rentrer vers les eaux froides pour se nourrir. Aujourd’hui, la famille des orques a tué un lion de mer. Puis ensemble, ils ont fêté cet apprentissage en remontant souvent à la surface de l’eau, en nageant les uns contre les autres, en sautant hors de l’eau. Ensuite ils ont été récupérer leur proie et ont appris au bébé orque à partager la nourriture avec sa famille et non tout manger d’un coup.

Au retour, arrêt stratégique rapide (j’était la seule motivée) aux magasins d’usine : enfin quelques magasins de vêtements divers à prix abordable.

Pour notre dernier jour à San Francisco, nous roulons en direction de la Silicon Valley pour visiter l’université de Stanford. Le campus est très grands, très beau, très propre, avec un tas d’installations sportives, de laboratoires et bibliothèques, ça donne envie de reprendre les études ! Et les enfants s’imaginaient venir étudier ici !!! Une année d’étude coûte par contre en moyenne 80 000$ (chambre étudiante comprise), c’est ici que Hewlett et Packard se sont rencontrés et ont crée la marque HP (ce moment est considéré comme le début de la Silicon Valley), que l’entreprise Google a été créée, tout comme yahoo, linkedin, snapchat entre autres… Une vingtaine de prix Nobel sortent de Stanford de mêmes que plusieurs champions olympiques. Quel prestige ! Nous avons appris que l’université de Stanford a mis en place un système de brevet qui lui permet de recevoir des royalties des entreprises crées par les étudiants alors en cursus à Stanford.

Big Island

L’archipel d’Hawaï compte huit îles principales, dont Big Island qui porte bien son nom, car à elle seule elle est plus grande que les sept autres îles réunies.

C’est aussi l’île la plus récente, elle comporte plusieurs volcans parmi les plus actifs au monde. Sur Big Island, il y a deux sommets qui dépassent les 4000 mètres : le Mauna Kea et le Mauna Loa. Si l’on ajoute leur partie immergée, ces deux volcans sont plus hauts que l’Everest, puisque le Mauna Kea a sa base à 6 000 mètres sous l’eau, tandis quel le Mauna Loa débute lui à 13 000 mètres sous l’eau… Le Mauna Loa se dresse donc à 17 000 mètres au-dessus de sa base ! À eux deux, ces deux volcans sont si massifs qu’ils provoquent une déformation et un enfoncement du plancher océanique sur lequel ils reposent. La présence de volcans se repère partout sur l’île, que ce soit en regardant en hauteur les sommets des collines noirs, au sol la lave séchée qui couvre le sol souvent jusqu’à l’océan, jusqu’au sable des plages.

Le volcan Kilauea

Deux jours avant notre arrivée sur Big Island, une partie du parc national des volcans a été fermée au public en raison de nombreux tremblements de terre détectés en profondeur. Ce sont toujours les premiers signes avant qu’une éruption ait lieu. Nous avons donc espéré avoir la possibilité de voir de la lave s’écouler sur les pentes du volcan pendant notre séjour. Notre discussion avec un ranger nous a laissé espérer…en vain ! Il faut savoir que les éruptions sur Big Island ne sont jamais destructrices, c’est un volcan effusif avec de la lave très fluide qui s’écoule le long des pentes vers des zones non habitées.

Un tube de lave un peu aménagé

Axel explique sur son blog comment se forment ces tube de laves.

Un tube de lave non aménagé : les frontales sont absolument nécessaires !

L’étonnante Black sand beach

Le volcan Mauna Kea

Au sommet de ce volcan, à plus de 4200 m d’altitude, sont implantés une douzaine de télescopes internationaux parmi les plus puissants au monde. En effet, entre l’altitude, la position en pleine mer de Hawaï, la faible densité de l’air et le peu de pollution lumineuse (tout l’éclairage public de l’île est équipée de lampe à sodium), ce lieu est un endroit privilégié pour l’observation de l’espace. L’accès au sommet est autorisé au public, mais le jour où nous sommes montés, nous avons dû nous arrêter à l’office des rangers situé à 2800 mètres, la route étant fermée car le vent soufflait à plus de 150 km/h au sommet… Nous avons tout de même pu assister à un superbe coucher de soleil au-dessus d’une mer de nuages. Magnifique.

De la lave partout…

Le lei

Dans la tradition hawaïenne, Aloha représente la beauté de la nature et le respect de celle-ci, l’amour et le partage avec autrui. Le lei est un collier de fleurs ou de feuilles traditionnel qui véhicule ce mode de vie et de pensée respectueux, bienveillant et cool. Dans la vie quotidienne, on offre ou on se confectionne un lei lors de grandes occasions, par exemple pour les représentations de Hula, en signe de bienvenue ou en guise de présent à un proche, lors d’un anniversaire, de l’obtention d’un diplôme… Il y a différents lei selon l’occasion. Certains lei sont rapides à fabriquer, d’autres prennent beaucoup plus de temps. La façon de réaliser un lei est transmise de générations en générations, c’est traditionnel. On peut tresser les feuilles et les fleurs (comme les fleurs du plumeria qui sentent très bon, cf collier d’Axel), les coudre, les nouer, ou faire des mélanges de techniques.

Quelques spécificités de l’île

Green sand beach

La couleur verte du sable est due à la présence d’olivine. Des projets sont actuellement en cours pour utiliser les propriétés de l’olivine qui, lorsqu’elle se dégrade emprisonne de grandes quantités de CO2 atmosphérique, afin de lutter contre le réchauffement climatique. Concrètement, du sable vert est déposé sur certaines plages tests (dans les Caraïbes notamment) afin que le mouvement naturel des vagues érode l’olivine et permette la captation du CO2. Affaire à suivre…

Le snorkelling à Big Island était superbe car nous avons pu voir plein de poissons aux couleurs flashy magnifiques ou aux formes étonnantes, juste en nageant quelques mètres depuis les plages. C’était génial et dingue !

Rainbow falls

Il manquait les rayons du soleil pour pouvoir voir l’arc-en-ciel !

Raies manta

Big Island est l’un des seuls endroits au monde où l’on peut plonger pour voir des raies manta. Les raies présentent ici sont côtières et sédentaires. Elles vivent et restent près des côtes de Hawaï. Elles peuvent même être identifiées grâce aux points qu’elles ont sur leur face ventrale. Quelques faits intéressants sur les raies manta : elles ont le plus gros cerveau de tous les poissons et une excellente mémoire, elles peuvent vivre jusqu’à 80 ans, elle fait partie des rares espèces à reconnaître sa propre image dans un miroir.

Elles sont même baptisées humoristiquement par les locaux : il y a par exemple la Raie charles, Sugar raie, Raie ban… On attend vos meilleures propositions de noms dans les commentaires !

Hawaï, variée, cool, pluvieuse et ensoleillée, dépaysante, accueillante, si loin de tout… que de découvertes en 2 semaines !