Salta : ses environs et ses lamas.

LES ANIMAUX

Il y a 4 types de lamas différents : les lamas (domestiqués), les guanacos (sauvages), les alpagas (domestiqués) et les vigognes (sauvages). On peut en reconnaître certains, par exemple : les vigognes ont le dos marron clair et le ventre blanc. La laine de vigogne est plus chère parce qu’elle est plus douce, mais surtout parce qu’on ne tond une vigogne qu’une fois tous les deux ans ! Ça fait de 350 g à 500 g de laine au total, ce qui n’est pas beaucoup ! Une très grande écharpe n’a besoin que de 50 g de laine. Un poncho, lui, en a besoin de 900g à 1kg.

Encore sur le bord de la route, on est aussi sorti de la voiture pour aller voir de plus près les lamas. On voyait même au loin un petit, il était trop mignon ! Et, il y a aussi quelques renards qui traversent en plein milieu de la route.

Sur la route qui n’en est pas vraiment une, il y a des vaches et des chevaux. On a traversé un troupeau de vaches qui étaient en plein milieu de la route. Les chevaux le soir, on leur attache les pattes avant pour éviter qu’ils ne s’échappent. C’est très rigolo de les voir sauter !

LA CITE ANTIQUE DE QUILMES

On est allé voir les ruines d’une cité antique. Elles étaient étrangement bien conservées et c’était rigolo de les voir. On a vu d’anciennes habitations et des salles de cérémonie. C’était vraiment très joli ! Avant, il y avait de l’eau qui passait sur les côtés de ce village. En fait, la maison du chef était tout en haut de la colline et tout le reste de le village était sur un versant de la montagne. Les agricultures étaient de l’autre côté. Il y avait plein de petites épines par terre. Je me suis piquée le pied et Axel aussi. Ça faisait quand même mal !

LE VIGNOBLE

On a visité un grand vignoble dans la montagne. Il y avait énormément de pieds de vigne qui n’ont que 15 ans. On a vu beaucoup d’étapes de fabrication du vin. Par exemple, on a vu des grandes cuves qui servent à décanter le jus, et dans de plus grandes cuves ça fermente. On a aussi pu observer les espèces de cuve en forme d’oeuf qui servent pour le vin de meilleure qualité. Puis on a vu les grands tonneaux, il y en avait des tonnes ! Apparemment, ils sont très lourd. Il faut que les vignerons attendent trois à quatre ans avant de pouvoir vendre leur vin. Après, Papa et Maman sont allés faire une dégustation et les enfants n’étaient pas admis dans la salle. Alors on a attendu dehors où c’était vraiment très joli, en pierre, avec quelques fontaines et cascades. D’après les parents, la bouteille était au même prix qu’en France, mais de moins bonne qualité !

LES PLANTES 🏜️🌵

Au cours de notre chemin, on a vu beaucoup de cactus, super grands et avec plein d’épines ! On n’en a touché, mais sur le côté pour ne pas se faire piquer. Il y en avait aussi des plats. Saviez-vous que le cactus faisait des fruits ? Ils les appèlent les pocos, il y a des fleurs sur les cactus en février et les fruits mûrissent en mars/avril. On a aussi croisé une plante avec le tronc vert ! C’est vraiment original.

LES PAYSAGES

Sur la route vers Cachi

Sur la route vers Cafayate

Sur la route vers Salta, plusieurs points de vue.

Le col pour aller vers les Salinas Grandes

Les Salinas Grandes

Humahuaca : le Mont Hornocal, la montagne aux 14 couleurs et ses vigognes.

LE CARNAVAL à HUMAHUACA

Au carnaval, les enfants et certains adultes ont des bombes à mousse et du talc. On s’amuse à en lancer sur les autres pendant toute la soirée ! On a trouvé des enfants avec qui on s’est beaucoup amusé. C’est Axel et moi contre eux. Ca a fait une sacrée bataille ! C’était vraiment trop génial !!!

C’était vraiment tout trop génial, j’ai aimé particulièrement le carnaval !

A Auckland

On a mangé une glace à Auckland, chez Giapo. 

La particularité était que les cônes étaient très originaux, et tout était artisanal. Les cônes étaient vraiment gros. 

L’avis d’Axel : C’était très bon, les glaces étaient énormes. Mais ils n’avaient pas de parfums normaux comme la vanille et le chocolat. Ce n’est pas grave car ça m’a permis de goûter de nouveaux parfums. Les cônes étaient rigolos mais pas forcément bons.

Note : 7/10

L’avis de Léa : La glace était succulente et super grosse : les 2 boules faisaient la taille de 3 boules. Il y avait des parfums que je n’avais encore jamais gouté, ils rajoutaient un coulis de chocolat/noisettes par-dessus, j’ai trouvé ça vraiment très bon.

Note : 8/10

A Bariloche

On a mangé une glace chez le glacier Rapanui, à Bariloche. Ils ont plusieurs boutiques en Argentine. C’est très connu.

L’avis de Léa : J’ai pris une glace au chocolat et elle était succulente. Ils ont plein de parfums différents. Une glace comme celle-ci coûte 3 200 pesos, soit 2,30€ !

Note : 8,5/10

L’avis d’Axel : Les boules sont énormes et excellentes. Il y a plein de serveurs , ils sont très rapides pour nous servir mais il y a aussi plein de monde. Ils doivent faire fortune !

Note : 9,5/10

Buenos Aires et Tigre.

Pour arriver en Argentine, on a d’abord fait un voyage dans le temps : on est parti d’Auckland le mardi 16 janvier à 13h30 pour aller à Dallas. Nous y sommes arrivés le mardi 16 janvier à 7h30.  On a fait un vol de 13h, et pourtant on est arrivé 6h avant notre heure de départ. Et de Dallas à Buenos Aires on a ré-avancé de 2h. Notre journée du 16 janvier a duré  43h00 !!!! C’est un truc de ouf ! J’ai mis 4 jours à récupérer du décalage horaire, le premier jour j’ai dormi jusque’à 16h….

On a visité la Plaza de Mayo, tout au bout il y a la Casa Rosada (bâtiment rose où il y a le gouvernement argentin), au centre il y avait une statue de Marianne avec des fontaines sur le côté (parce qu’elle est le symbole de de la liberté). Ils ont aussi hissé leur drapeau géant parce qu’ils ont gagné la coupe du monde de football…!

Le musée en face de cette place permettait de toucher les objets antiques, il n’y avait presque rien qui les protégeait. 

On a mangé des empanadas, la spécialité d’ici. C’est comme un chausson aux pommes mais fourré avec du salé, comme par exemple jambon/fromage ou épinards ou viande épicée.

Le théâtre Colon est l’un des plus beaux au monde. Les architectes étaient italiens et français, donc les styles varient mais ressemblent aux théatres européens.

Le marbre utilisé est mélangé avec du plastique et de la glue. Les peintres ont ensuite peint à la main de fausses fissures pour que cela ressemble plus au marbre classique. On ne voit pas la différence entre les deux ! Le théâtre est nettoyé à la main, au chiffon et sans produit, pour ne pas abîmer la peinture. 

Il y avait de belles gravures sur les murs. 

Il est aussi l’un des seul théâtre à fabriquer dans son sous-sol ses décors et costumes. Il fait 75 mètre de profondeur ! Sa scène est très grande. La fosse est aussi très grande, elle peut accueillir jusque’à 120 musiciens. La guide disait que l’acoustique était super bonne. 

Au sommet de la salle, il y a un magnifique lustre qui pèse 2 tonnes. Autour de ce lustre, il y a un cercle de métal. Caché, il y a le choeur qui chante, cela donne l’impression aux spectateurs que les voix viennent du paradis. Apparemment, c’est le seul au monde à avoir cet équipement.

J’ai trouvé que l’ensemble était très joli.

Les noms de Tintin, Dupont et Dupond, et Milou, en espagnol !

Tigre est surnommée la petite Venise. Son nom a été donné parce les colons espagnols ont confondu les jaguars présents avec des tigres… Les maisons sont sur pilotis. On lève la main quand on veut prendre un bateau taxi, et il s’arrête. C’est joli.

Station essence pour bateaux et engins nautiques.

La Patagonie argentine.

Voici le Perito Moreno. Il fait 4,5 kilomètres de large, et au plus haut 70 mètres. C’est impressionnant, mais on dirait que c’est plus petit que ça !

J’ai vu de gros morceaux de glace tomber dans l’eau. J’en ai vu un d’environ 50 mètres de haut ! Ca faisait un bruit sourd qui ressemblait à celui du tonnerre qui gronde.

On est allé dans un ranch à 30 kilomètres environ d’El Calafate. Il y avait beaucoup d’animaux : 6 chiens, des troupeaux de chevaux semi sauvages, des poulains, des vaches et des veaux, des cochons, des oies, des poules, des moutons. On a fait une balade à cheval mais le mien avait peur du vent. Or, sur le parcours, il pouvait y avoir du vent jusqu’à 80 km/h. On pouvait même voir des mini tornades.

Le poulain qu’on voit s’appelle Bambi et il a perdu sa maman.

Il y avait un oeuf de mega raptor, et quelques unes de ses vertèbres. C’est fou ! Il y avait aussi des animaux empaillés, ou leur peau. Là on voit un puma, il y en a par ici et ils le chassent pour éviter qu’il ne mange les animaux.

J’ai joué avec une chienne appelée Molly. Elle était enceinte. Elle n’allait pas chercher les bâtons mais plutôt les cailloux. C’était trop rigolo !

C’était vraiment génial, j’ai passé de très bons moments.

L’île du nord.

On est allé dans un camping dans Waikite valley. Le camping a dévié la rivière d’eau chaude qui passe dans la vallée, pour construire des piscines à différentes températures. Ils doivent beaucoup refroidir l’eau car elle est bouillante, littéralement ! La température des piscines allait de 35 à 40 degrés. J’ai vraiment adoré, surtout le matin quand il faisait froid à l’extérieur.

Le volcan Tongariro et le mont Ngauruhoe

On a fait une randonnée à la journée qui faisait 22 kilomètres. On a marché 6h30 ! Sur le chemin, on a vu, pour ceux qui connaissent le Seigneur des anneaux, la montagne du destin. Les réalisateurs n’ont pas pu filmer les sommets car ces monts sont sacrés pour les Maoris.

On pouvait distinctement voir les coulées de lave et de boue, les cratères, les cendres, etc.. 

On est parti du logement à 5h50 mais on a commencé à marcher à 7h30 parce qu’on a attendu Papa qui garait la voiture à l’arrivée et qui revenait au départ en navette. 

Tous les rochers que l’on voit derrière nous sont des pierres de lave. Le sol en était totalement recouvert à ce moment là.

Là, on est dans un cratère !

Voilà Red Crater. Il y avait comme une porte géante à l’intérieur du cratère. Je pense que c’est ici qu’ils ont fait l’entrée de la montagne du destin. Pour descendre depuis ce point de vue, on a marché dans de la cendre !

Ces lacs magnifiques sont dangereux car ils sont acides (pH 2 à 3).

A certains moments, c’était très pentu. Et il y avait plein de petits cailloux qui nous roulaient sous les pieds. Il y avait parfois des fumerolles.

On a tourné un court clip, profitant de l’occasion d’être dans le décor du Seigneur des anneaux !

On a visité un village maori. Ils sont très forts en sculpture sur bois. Ils rajoutent des bouts d’ormeaux à la place des yeux sur leurs sculptures pour leur donner vie. Ils taillent aussi la pierre de jade pour en faire des bijoux. Ils fabriquent également des cordes à partir de plantes, des vêtements, des paniers… Ils ajoutent parfois des plumes de kiwis morts (parce qu’ils sont sacrés) sur leurs robes (comme sur la photo).

On a vu des démonstrations de différents hakas, c’était vraiment génial ! La technique d’intimidation des maoris est pour les hommes de tirer la langue et pour les femmes de faire les gros yeux.

Mine de rien, c’est très compliqué de manier le poi ! La dame, elle, regardait son ordinateur et maniait 2 pois dans une seule main, très facilement et machinalement. Poi se prononce poï.

Cette école est juste incroyable : il y a des tonnes de jeux vraiment trop géniaux et une grande étendue d’herbe. Même si ce sont les grandes vacances, l’école reste ouverte pour avoir accès aux jeux.

Pour nous, l’école c’est plutôt ça !!!

Ici, la géothermie est très présente. Il y a beaucoup de fumerolles, des geysers, des lacs multicolores…

Comme on peut le voir, il y a beaucoup de couleurs différentes. Par exemple, le jaune pour le soufre, le rouge pour le fer…

Voilà le geyser Lady Knox. Un employé jette 300 grammes de savon néozélandais dans le geyser, qui entre alors en éruption. Le jet va de 15 à 20 mètres.

Le zorb

Tu sautes dans une énorme boule gonflable avec un peu d’eau au fond, et on te lâche pour dévaler la pente. Tu fais plein de zigzags et c’est trop rigolo ! J’ai adoré.

Voici le lâcher d’un barrage : photos avant, pendant, à la fin du lâcher. C’était bizarre parce que l’eau montait vite.

C’est un vers luisant, appelé gloworm. On peut voir son corps marron, et l’extrémité de son corps s’allume la nuit. C’était impressionnant parce qu’il y en avait plein sur les falaises et ça faisait un peu comme des constellations dans le ciel.

Remarque au supermarché.

On a fait des jeux étonnants et très rigolos. 

On a sauté de 10 mètres. Ca faisait très peur !

Le swing, ou la balancier. Il y avait des sensations fortes parce qu’on avait l’impression d’être lâchée dans le vide, on ne sentait pas le harnais. et après, on allait super haut. J’ai adoré !

J’ai fait du trapèze !!! J’ai eu peur parce que le poteau bougeait et qu’il n’y avait rien pour s’accrocher. Le saut jusqu’au trapèze faisait 2 mètres. C’était trop cool !

J’ai franchement adoré la Nouvelle-Zélande. Je m’y sens comme chez moi. C’est la France avec un petit quelque chose en plus !

Le parc national d’Abel Tasman.

On est parti en trek pendant 2 jours et demi. On a pris un bateau pendant 2h. Il nous a amené à une plage. Celle-ci était notre point de départ.

De là, on a marché avec nos gros sacs à dos dans la forêt, on a vu de magnifiques paysages de mer, de plage et de montagne. L’eau était très claire et donc très belle à voir. Elle donnait envie de se baigner dedans.

Plusieurs fois, on a dû attendre que la marée descende pour pouvoir traverser à pied la mer et poursuivre notre chemin. La randonnée était épuisante parce que ça montait fort, que je portais un gros sac sur le dos et parce que les distances étaient très longues. Le site internet du parc national n’est pas actualisé, les distances ne sont pas bonnes car le chemin s’est éboulé à cause des intempéries et le parcours a été modifié. Du coup, le premier jour, on a fait 16km au lieu de 12. Le lendemain le parcours a aussi été modifié : 15km au lieu de 12,5. Le dernier jour, tout était nickel ; 12,5km.

Le 2ème jour, on s’est baigné dans un bras de mer alors que la marée descendait. Ça faisait du courant, un peu comme le River surfing mais avec moins de grosses vagues et en plus court. C’était trop génial !!!

On a construit un tipi.

J’étais très contente car la nuit on dormait dans une tente.

Au final, j’ai adoré la randonnée avec ses magnifiques paysages.

Queenstown.

Queenstown, c’est la ville des jeunes et des activités peu communes de plein air. Dès le premier jour, offert par Papy et Mamie, j’ai fait un saut en parachute en tandem avec un moniteur. J’ai sauté d’environ 2,750 kilomètres et fait 25 secondes de chute libre. Au moment de sauter dans le vide, j’ai eu super peur car je ne m’étais pas rendue compte de la hauteur à laquelle on volait. Le moniteur a souvent changé de côté et m’a permis de voir beaucoup de paysages différents. D’un côté je voyais les glaciers, ce que je trouve le plus joli, de l’autre un lac et encore après de très hautes montagnes. Parmi elles, il y avait Coronet Peak et plein d’autres encore. Plus tard, on a appris qu’en chute libre, j’avais descendu à plus de 200 km/h !!! 

Le deuxième jour, on est parti pour une grande randonnée de 12 kilomètres qu’on a fait en 3h A/R. Il y avait 1 100 mètres de dénivelé. Je suis contente car j’ai réussi à convaincre Papa et Maman de monter au sommet alors que ce n’était pas prévu car on était parti trop tard. Au final, on a mangé tout en haut et c’était cool d’avoir cette vue panoramique. On voyait les chaînes de montagnes avec au loin les glaciers, deux lacs et les villes de Queenstown et Frankton. Pour redescendre, on a trottiné car c’était le plus simple à cause du dénivelé qui nous emportait en avant.

Arrivés en bas, on a fait de la luge d’été. Les luges sont munies de roulettes et la piste est faite de béton. Ca allait très vite et il fallait bien freiner. Certains virages sont même relevés. Il y avait quelques asiatiques qui avançaient à deux à l’heure, qui faisaient des zigs-zags pour rien et certains étaient même coincés tellement ils avaient freiné ! On a fait des courses en départ décalé avec Axel, Papa et Maman. Et je suis souvent arrivée dernière ! C’était rigolo et fun !

Le troisième jour, on a fait du river boarding. Le principe est de se jeter dans la rivière avec une planche de bodyboard et de franchir les rapides (ici de grade 2 et 3) qui faisaient d’énormes vagues. La descente faisait environ 5 kilomètres. Avec Axel, nous étions les seuls enfants du groupe et on avait un guide chacun. Le mien parlait français et me laissait prendre certaines vagues de dos. Si on arrivait à toucher le guide qui menait les adultes, on avait 10 points. Mais si on se faisait repêcher par le guide qui clôturait le groupe, on avait moins 10 points. A la fin, j’ai eu 60 points avec une repêche ! Je me suis fais balancer dans tous les sens par les vagues, c’était rigolo, impressionnant, j’ai eu peur parfois, et j’ai eu une bonne dose d’adrénaline !

Ici, ils font des trucs qu’on ne pourrait jamais faire en France, et c’est très fun !

J’ai adoré, c’était trop cool !

Le Sud de l’Ile du Sud.

Rien que pour arriver en NZ, ce fut une galère sans nom. Déjà, pour rendre le van à Sydney, on a du refaire le plein le jour même, au dernier moment. La première station essence était fermée, on a pris plus de temps pour aller à la deuxième. Puis, la ligne de métro qui devait nous amenée à l’aéroport était fermée pour la journée. Dans l’aéroport, on ne peut pas embarquer, on n’a pas d’autorisation d’entrer en NZ. Papa et Maman le font en urgence par internet. Pour enregistrer les bagages, c’est compliqué car chaque personne doit le faire tout seul (pas de guichet) et la machine se bloque à chaque nouvelle personne. On est dans l’avion. On reste bloqué plus de 40 minutes pour problème technique. Arrivés à Auckland, on attend encore le bus qui a 30 minutes de retard. On croit que la galère est enfin passée, mais pas du tout !!!

Le lendemain, arrivés à l’aéroport pour notre vol Auckland-Christchurch avec la compagnie Jetstar (billet en-dehors de notre billet TDM), on reçoit un message comme quoi notre vol est annulé. Il n’y a plus de place pour les autres vols du jour, alors on prend le vol le plus tôt pour le lendemain. Ils nous donnent quelques coupons pour manger dans l’aéroport. 

Le jour suivant, on arrive à l’aéroport, ils nous racontent qu’on n’est pas enregistré. Mon billet porte le nom de Smrckova Josefina….., ils nous ont inscrits sous de mauvais noms. Impossible d’embarquer. Heureusement, il reste de la place pour nous enregistrer sur le vol suivant en fin de matinée. On revient donc encore au guichet pour enfin embarquer. Et là, Axel et moi ne pouvons pas embarquer car ils se sont trompés et nous ont donné des places plus de 16 ans (vers les portes de secours on suppose). Mais cette fois, il reste d’autres places qu’on nous attribue aussitôt. Ouf ! Enfin nous partons pour Christchurch.

LAKE TEKAPO

On est allé dans les sources d’eau chaude en extérieur, à côté du lac Tekapo. Comme la NZ se situe sur une zone à forte activité géothermique, il y a des volcans et de nombreuses sources d’eau chaude. C’est agréable mais parfois trop chaud ! La température des bassins allait de 35 à 38 degrés. Le soir, on a pris l’apéro avec Mino et Marilou, qui sont de notre famille et qui étaient en vacances en NZ. C’était chouette de parler français et de voir la famille.

MOERAKI BOULDERS

Il commence à faire plus frais par ici. Sur la plage, il y a plein de rochers particuliers. Ils sont formés à partir de boue. Avec le temps, elle a été fossilisée, ce qui a transformé cette boue en rocher. Mais il manque encore des explications sur ce phénomène. Les rochers sont presque totalement sphériques et « sortent de la falaise ». A marée haute, ils sont recouverts.

TOUT AU SUD

Dans la mer plus froide, on peut voir des lions de mer, des otaries à fourrure, des dauphins Hector (les plus petits au monde) et des pingouins à oeil jaune. Ces derniers sont très rares et j’ai eu la chance d’en voir deux revenir de la pêche, sortir de l’eau. Il allait à son nid pour nourrir ses petits. Il a quand même fallu attendre un peu plus d’une heure cachée dans une petite cabane ou en bout de plage, pour les voir sortir de l’eau car ils sont très peureux et timides ! 

Il faut faire attention aux lions de mer qui peuvent traverser la route ! 

Une forêt pétrifiée est une forêt qui est morte, brulée par la lave et qui a été fossilisée. Aujourd’hui, on peut voir des bouts de bois coincés dans la pierre. Ils ont plus de 160 à 180 millions d’années, ils datent du Gondawa. On arrive aussi à deviner la forme de troncs couchés et à repérer quelques souches. Ces fossiles sont recouverts à marée haute. C’est impressionnant.

MILFORD SOUND

Sur la route pour aller à Milford Sound, on a vu des champs sauvages remplis de lupins traversés par des cours d’eau (l’eau est très froide). C’était magique. On a vu également une forêt pleine de fougères, emblème de la NZ. 

On a fait une croisière en bateau pour voir des fjords. C’est l’océan qui s’engouffre dans la vallée créé par la fonte d’un glacier. Les montagnes se jettent donc directement dans l’océan. On a vu plusieurs cascades très jolies et très hautes. On a croisé des dauphins qui s’amusaient dans les vagues du bateau, et des otaries qui se reposaient sur de gros rochers. On a fait un arrêt à un observatoire flottant sous-marin. où. j’ai vu des perches, des anémones et des coraux. 

On a fait un tour de kayak au cours duquel on est allé à contre-courant dans une rivière dont l’eau est potable car elle vient du glacier et est filtrée par la montagne (terre, sable, cailloux…). C’était très joli, il y avait une ambiance très particulière que je ne saurais décrire. 

Je suis très contente de tout ce que j’ai fait et vu !