J’aime bien notre arrivée aux USA, et j’aime bien les USA en général car j’ai toujours rêvé d’y aller.
Les français sont arrivés dans la ville de Natchez en 1716. La fin de la guerre entre français et indiens a apporté des changements : la France cède ses terres à l’est du fleuve Mississippi à l’Angleterre et toutes ses terres à l’ouest à l’Espagne.
La France a maintenu 3 îles dans les caraïbes pour ses plantations de canne à sucre.


LES PLANTATIONS
Les plantations sont comme les plantations de blé sauf qu’on y cultive du coton ou la canne à sucre.

Le contremaître est celui qui doit faire travailler les esclaves. On l’appelle conducteur mais il est quand même un esclave. Sa maison est construite sur le même système que celle des maîtres, mais bien sûr la maison des maîtres est quand même beaucoup plus grande. Il a une chambre plus grande, plus belle et avec plus d’aération que celle des autres esclaves.


La maison des esclaves est dans le quartier des esclaves où il y a la cuisine, les toilettes, la laverie et d’autres choses. Leur maison est aussi grande que celle du contremaître mais ils sont deux à trois familles dans cette maison. Pour plus d’isolation, ils pouvaient mettre du papier journal sur les mur pour isoler.



Outils utilisés dans les champs de coton


Les esclaves qui fuguaient pour aller juste dans la plantation d’à côté pour aller voir leur famille et qui revenaient ensuite étaient appelés les petits marrons. Les gros marrons désignaient les esclaves qui essayaient de partir indéfiniment, et de ne plus jamais revenir. Si ils étaient rattrapés ils pouvaient être marqué au fer rouge, mais à la troisième tentative de fugue ils étaient tués. I
Il y a eu un jour une révolte d’esclaves où un contremaître avait emmené des esclaves de plantation en plantation pour rallier de plus en plus d’esclaves. Ils étaient entre 200 et 500. Ils ont essayé de tuer les maîtres avec leurs armes. A la fin ils se sont fait arrêter par l’armée. La plupart ont été condamnés à mort, mais les autres sont retournés dans les champs. Tous les blancs qui voyaient un noir en liberté pouvaient lui demander son laisser-passer pour savoir si il avait eu l’autorisation du maître d’être en-dehors de la plantation. Et si ils n’avaient pas leur laisser-passer, et bien les blancs pouvaient les ramener et recevoir une récompense.
Pas drôle du tout cette vie d’esclave. Merci Axel pour ces précisions mais vive la liberté!! Bonne continuation à vous 4
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Pas facile du tout et vive la liberté, égalité, fraternité.
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Merci pour ce grand voyage qui me fait penser à la chanson de Nino Ferrer « on dirait le sud », j’aimais bien dans les années 70 (autant dire pour vous durant l’histoire de France) la mélancolie qui s’y attache, me balancer sur un rocking chair, un petit cigare (pour faire semblant, juste pour la photo bien sûr), et un cocktail de fruits frais ; sieste sur la terrasse d’une maison coloniale… Oui j’aimais cette chanson quand bien même ça pouvait faire référence à la vie que vous décrivez fort bien, où la douce vie des grands propriétaires était aussi assise sur la sueur des esclaves… Sinon de manière plus anecdotique, j’ai vu sur une de vos photos des toilettes au fond d’un jardin, je peux vous confier qu’à la campagne (sans doute plus fréquemment qu’à la ville) lorsque j’étais enfant, il n’y avait pas de salle de bain à la maison (un coup de gant de toilette sur la frimousse en semaine, et un grand lavage complet le dimanche au dessus d’une cuvette), vous comprenez pourquoi déjà à cette époque les maîtres ne nous embrassaient pas lors de notre arrivée à l’école le matin 🤣). Oui, je reviens à la cabane au fond du jardin…. c’était (à peu près comme ça) nos toilettes. Terrible non ? Eh ben non, il y a plus terrible encore…. car en hiver, pour pas avoir froid à nos petites fesses, nos parents nous invitaient à concrétiser notre envie… dans le seau (dit hygiénique !) familial 😖… Faut vraiment être né milieu 20ème siècle) pour accepter que tout ceci ne soit pas considéré comme triste farce. Et tout ceci nous semblait si naturel que nous nous sentions réellement aimés et heureux. Bisous depuis le Cantal où, par bonheur, il a neigé ces derniers jours, c’est tout blanc, tout comme j’aime en hiver (… et nous avons des wc à l’intérieur👍). En encore merci Léa, Axel pour les poésies et reportages toujours intéressants et agréables. Bises
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Effectivement ça devait être terrible, heureusement que maintenant nous avons des toilettes normaux, et pour les japonais des toilettes chauffants en hiver !
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